Et bien, c’était une chouette soirée. La première partie surtout. Je parle de la soirée Kino d’hier. Rapport au billet d’hier. Il y a eu un entracte de quinze minutes. Pas d’apéro à l’arrivée comme les dernières fois où j’étais venu, j’aurais bien pris un jus de fruits mais ce n’est pas très important. La seconde partie c’était des films réalisés lors d’un Kino Kabaret à Marseille. Y a plus d’apéro parce qu’il faut faire des soirées à six-cent. C’est ce qu’on m’a dit. J’ai pas compris si c’était six-cent places ou six-cent euros pour la location de la salle. Un jour j’essaierai de mettre mes idées en ordre dans ma tête avant de les écrire mais c’est pas pour tout de suite. Le Kino Kabaret, c’est comme le Kino normal sauf qu’au lieu d’avoir deux mois pour les réaliser les films, on a trois jours. Enfin sept à trois jours. Eux ont eu trois jours. Ça se voyait. Mais comment ne se serait-ce pas vu. Je suis pas serein sur le premier se. Vous me direz vu le nombre de lectrices·eurs ça choquera personne. De toute façon j’irai pas vérifier. La première partie était bien. Mon ami qui réalisait ses premiers montages s’en est très bien tiré. J’ai même pas grincé des dents. J’ai même ri. C’était pas la perfection niveau rythme, mais c’était tout de même très fluide et bien marrant. On a eu en tout un roman-photo filmé, un film sur l’arrivée devant dieu, un film sur nous vivons dans une simulation, un film sur une conversation, un film sur la construction d’un grand bateau, un film sur les mecs qui étouffent leur femme au sens figuré, et une interview de Dieu. Ça c’était la première partie, donc. Quand tous les films seront mis en ligne quelque part sur le net, je vous ferai une petite sélection regardable d’ici. Pour la seconde partie, z’avez qu’a trouver un·e blogueur·euse provençal·e pour vous en causer. C’est pas que j’ai la flemme, c’est que je voudrais pas retirer le pain de la bouche à mes petites·s camarades, et quiconque dira le contraire n’est qu’une mauvaise langue.
Bon tout ça est bien bordélique mais je suis à l’ouest aujourd’hui. Remettez les phrases dans l’ordre vous-même, ça vous fera votre petit jeu du matin, style puzzle. Vous prononcez peuzeul, peuzle ou puzle, c’est votre affaire.
Allez, pour finir quelques indications sur les prochains évènements Kino et on s’en tiendra là.
Le thème de la prochaine session choisi hier par la salle est :
STEAMPUNK
- Si vous souhaitez participer à l’un des courts-métrages à un niveau ou un autre, il vous faut venir à : La Friche de Mimi, 42 rue Adam de Craponne, ce vendredi 16 février à 19h30. On va se rencontrer, discuter, former les équipes autour d’un apéro. Chacun·e ramène à manger et à boire. Pensez-y sinon on se contentera d’avaler notre salive en espérant qu’elle ait du goût.
- Si vous ne voulez pas mettre les mains dans le cambouis mais que vous voulez quand même exploiter le résultat des travailleurs, ce qui est tout à votre honneur, c’est-à-dire assister à la projection gratuite des travaux finis : la session se déroulera le lundi 7 mai, toujours au Centre Rabelais, normalement toujours à 20h. Mais j’aurai bien le temps de vous en reparler d’ici-là.
Bon, c’est tout pour aujourd’hui. Vous avez remarqué ? Je n’ai pas parlé de moi. C’est un tort. Je me rattraperai demain.