#60 – Montpelliérien #060 – Debirenbire

La crève ne m’a pas lâché. Elle n’a pas faibli non plus. J’ai l’impression de vous écrire depuis le cœur d’un blizzard, j’ai froid et j’ai du mal à penser plus de cinq mètres devant moi. Quand on est crèveux·se, Montpellier ou l’Antarctique, c’est la même chose. Je pionce, je me réveille, je gère les appels pour l’association, je repionce. Maintenant, suite et fin de la correction d’un mémoire, je suis même pas sûr d’arriver à les voir, les fautes. On peut plus caner en paix.

J’ai vu vite fait aux infos qu’on parlait encore de la fac de droit, j’aurais bien dit quelque chose d’intelligent à ce sujet, malheureusement mon état m’en empêche. Vous avez vraiment pas de chance. J’aurais également bien dit un mot à propos de ce cher édito de Delfeil de Ton dont tout le monde causait il y a deux mois, comme je l’avais annoncé dans mon premier article, mais franchement, vous voyez bien que ce n’est pas le moment. Promis, j’en parlerai un jour.

Bref, j’aurais pu dire bien des choses qui vous auraient bouleversées·s, mais je vais plutôt aller moucher ma morve et me mettre à ce mémoire avant d’aller m’écrouler au lit.

Bonne fin de journée.

 

 

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