Vous êtes bien chez Montpelliérien.com, le propriétaire des lieux n’est pas là pour le moment, vous pouvez laisser un message ou enlever vos chaussures et faire comme chez vous. La clé est sous le paillasson. Vous ne trouverez pas d’alcool dans les placards, puisqu’on est sur un blog et qu’il n’y a pas plus de placards que de paillassons sur un blog, mais vous pouvez vous servir un jus de tomate, avec du tabasco, du sel au céleri et de la worchersor… werterch… worsterchaïre sauce. Enfin, de quoi vous mettre bien le temps de lire des articles que vous avez ratés en allant voir la page sommaire. Après le bip.
C’était décidément une bien mauvaise idée de partir sur un message type répondeur. Ça ne rime à rien. Je m’en rends compte maintenant. Mais croyez-vous que dix minutes chrono pour rédiger et publier cet article me laissent le temps de choisir la manière ? Non. Dans ces conditions je n’ai même pas le temps d’ouvrir ma boîte e-mail histoire de voir si Gwlad ou Koinkoin m’ont envoyé des photos pour aujourd’hui, ni donc d’en mettre une. Elles sont presque passées d’ailleurs ces dix minutes. Tout ça pour ça. Eh oui. On fait ce qu’on peut. Je ne suis donc pas de cette catégorie de génies qui sortent leurs plus beaux textes sous la pression, ou face à la date de publication approchant. Il fallait essayer pour savoir, c’est le genre de chose qu’on ne peut pas prédire à l’avance. Mais maintenant c’est sûr. Je dois bien l’admettre, j’appartiens sans doute à une autre catégorie de génies. Une encore mal identifiée par les universitaires, c’est pour ça qu’elle n’est pas tant remarquée que ça. Une qui n’hésite pas, par exemple, à faire semblant de ne pas savoir prononcer worcestershire à l’écrit. Bon, faut vraiment que je file.
BIP