Il y a des jours comme ça où on ne sait pas bien quoi raconter. Vous allez me dire qu’il y en a eu beaucoup des jours comme ça ces derniers temps. Oui. Je ne peux pas nier. Le soleil est revenu depuis peu, mais pas le moral. D’où le titre. Si vous ne voyez pas le rapport c’est que vous n’avez pas lu l’article de vendredi dernier. Même l’idée de vous écrire une petite note pour vous divertir, vous faire sourire, ne me motive pas plus que ça. Je n’ai pas l’envie d’avoir envie comme disait l’autre millionnaire mort. Et puis un billet par jour, quand on a une vie banale à souhait… C’est un peu comme publier son autobiographie à douze ans. L’intention est honorable mais alors, côté lecteurs·rices faut vraiment gratter pour trouver quelque chose à se mettre sous la dent. J’aurais pu vous raconter mon trajet retour Béziers-Montpellier mais il ne s’y est rien passé de notable.
Quoi, c’est tout ? Et oui. Cet après-midi ça va encore être la course entre bénévolat et évènements culturels, j’aurais peut-être le temps de prendre une douche avant de partir si j’arrête ce billet rempli de tout ce beau vide ici.
Ah non, j’oubliais ! Si vous êtes étudiant·e, en fin d’aprem-début de soirée il y a présentation du festival Montpellier Danse pour les étudiants. C’est de 18h30 à 22h exactement et c’est à l’Agora, cité internationale de le danse, 18 rue Sainte-Ursule. Il faut juste s’inscrire ici avant. C’est gratos. Moi j’y serai avec des amis. Ça fait bien longtemps qu’on est plus étudiants·es, mais on a des contacts hauts placés.
Si vous n’êtes pas étudiant·e, ou que vous l’êtes mais que comme moi vous n’en avez rien à faire de la danse : open mic à l’ODB qu’on imagine bien ce que ça peut donner, Le Bœuf Deluxe à la Petite Scène qu’on nous dit que c’est de l’éclectique (?), Sombrero Gang au Clandestin que c’est apparemment du rock latino, ou Yenalaba à l’Irish Tavern que ça semblerait être de la musique traditionnelle des Balkans. Tout ça c’est à 21h sauf le dernier qui commence une demi heure plus tard.