Hier, j’ai visité l’Agora de Montpellier. C’était chouette. Cette phrase digne d’un élève de CP est tout ce qui me vient alors qu’il est déjà presque 21h et que je n’ai toujours pas rédigé ma note de blog. Misère, misère, misère. Au lieu d’envoyer un message à ma colocataire qui est au kebab et me demande si je veux quelque chose pour lui répondre qu’elle me prenne une barquette de frites à 3€ sans sauce s’il lui plaît, je l’ai envoyé à Gwlad. Sans doute est-ce pour ça qu’elle même n’a pas pu nous envoyer de photo aujourd’hui, occupée qu’elle doit être à être partie m’acheter des frites sur un malentendu. Des anecdotes comme ça, vous en voudriez plus hein ? Regardez celle-là comme elle est belle : il y a deux jours, ma mère, qui avait eu ma grand-mère au téléphone, me disait que cette dernière voulait absolument me donner des œufs de ses poules parce qu’elle savait que « je ne mangeais pas les œufs des poules que je ne connaissais pas ». La poésie est partout, il faut juste être à l’écoute. Vous en voulez une troisième ? Vous exagérez. Allez, allez. Soyez raisonnable. Ce serait de la gourmandise.
Oui. Au final, il m’en restait une dans les tiroirs.