Et voilà. Je le savais. Je suis encore à la bourre. Ce matin, à dix heures, j’ai failli me lancer. Il était prévu qu’à midi j’aille aider une amie à corriger une petite rédaction. Évidemment, on n’est pas de marbre, et je sentais bien que l’invitation ressemblait à une invitation. Vous voyez le genre d’invitation ? Mais si ! Non, pas celui-là. L’autre. Voilà. Ah vous voyez que vous voyez. Bon. S’il se trouvait que ce soit bien le cas, il aurait été possible que je n’aie pas le temps de rédiger cet article. Seulement au moment de me lancer, voilà que l’une des multiples voix de ma conscience me glisse, cynique : « et ben mon petit père, on s’y voit déjà ma parole ? Ça va les chevilles ? Tu te rappelleras quand même de lui demander ce qu’elle en pense avant de lui rouler une pelle, hein ? » Du coup je l’ai pas fait.
Bon et ben voilà. Je suis actuellement chez elle, je n’ai certes pas eu le temps d’écrire ma note de blog, il est 23h30, j’ai dû aller chercher mon ordinateur chez moi et le ramener chez elle, je n’ai rien à raconter et j’avoue que là tout de suite, j’ai quand même d’autres priorités. Et puis, elle regarde par dessus mon épaule, et allez écrire ce qui vous passe par la tête dans ces conditions vous, j’aimerai vous y voir. Ah la la, pour une fois qu’une nana le trouve à son goût celui-là, il se vante aussi sec, que vous dites. Je vous raconte que je fais un aller retour, de nuit, le soir où je me mets avec une fille, tout ça pour que vous puissiez avoir votre petite note de blog et c’est comme ça que vous le prenez ? Non, vraiment, vous ne me méritez pas.
Alors ??? Enfin du glamour ! Ce suspense est intenable
Et voilà, on montre discrètement un mollet et tout le monde veut voir la cuisse. Voyez comme vous êtes ! 😉