Dernière fournée d’étoiles. Après, on reviendra à un peu de blabla. J’écoule les stocks. Pas eu grand chose à dire ces derniers jours. Pas eu trop envie non plus.
Ce truc-là, comme les précédents, a été fait pour Numéro 0. À cette période, je photographiais tous les stickers d’Ixelles. Parallèlement, j’essayais de programmer un générateur de polygones réguliers étoilés sur processing. J’ai pas réussi. Celle-ci est dessinée au pifomètre. Je ne baisse pas les bras, mais mon niveau en maths et en programmation ne me laissent pas grand espoir d’y arriver par moi-même.
Et donc, je me disais, faire un sticker ce serait pas mal. Tentons avec une étoile.
Bon. Voilà. C’était un test. J’estime pas ça assez bon pour en imprimer une centaine. Et puisque je n’arrive pas à programmer un générateur qui me permette de les dessiner proprement en quelques clics, c’était la première et dernière tentative de starsticker.
Dommage, je voulais faire une série, présentant tous les modèles de polygones de 5 à… je ne sais pas 12, 13 côtés peut-être plus. Ça en fait un paquet, en comptant que pour 7, 9, 11 et 13, entre autres, côtés, il y a différentes manières de relier les points entre eux qui donnent différentes étoiles. Par exemple il y a quatre façons de dessiner un tel polygone à 11 côtés :
Ces polygones ont chacun onze sommets. Selon qu’on en relie 1 sur 2, 1 sur 3, sur 4 ou sur 5, on obtient ces différentes formes.
Enfin bref, pas question que je me tape ce travail sans avoir des étoiles parfaites et rapides à générer.
En bonus (quel bonus ! vous vous dites), les deux versions sur fond transparent, pour les qui aimeraient se les imprimer.