C’est un plaisir d’apprendre à programmer dans p5.js. On peut très rapidement faire des choses visuellement intéressantes. Du moins tant qu’on suit un tutoriel. Dès qu’on sort des exemples donnés par contre, on est perdu. En tout cas je le suis. Connais pas JavaScript, tâtonne comme une taupe sortie de sa galerie un jour de grand soleil.
Ça ne m’empêchera pas de continuer, les possibles usages sont trop excitants maintenant que j’en ai eu un aperçu, mais je sais que ça me prendra un temps fou de m’améliorer. Cela dit, c’est la même histoire dans chaque domaine technique ou artistique quand on part de zéro.
Aujourd’hui donc, après être sorti faire un tour en ville pour profiter du beau temps, car je ne suis pas véritablement une taupe j’espère que vous aviez compris qu’il s’agissait là d’une simple comparaison, je me suis dit tiens, je ne travaille pas avant 17h, je vais essayer de programmer quelque chose et de partager le résultat sur le blog avant de partir. Voyez comme je suis naïf.
J’ai passé les cinq heures suivantes à échouer lamentablement dans ma quête de génération d’un réseau de veines pseudo-réaliste, alors qu’il s’agissait simplement de modifier à peine un code déjà présent sur le net. Il me reste désormais moins de dix minutes pour rédiger ma note de blog et je n’ai rien à vous présenter.
Reprenez un sticker.
Malheureusement, ma condition financière actuelle m’oblige à choisir à chaque repas. C’est frites OU salade. Ceux qui peuvent se payer les deux n’imaginent sans doute pas le luxe dans lequel ils mènent leur existence. Sur ce, laissez-moi aller me faire exploiter par le grand capital, sans ça ce soir je devrais me contenter d’une simple vinaigrette.
À demain.