J’ai trouvé dans mon téléphone portable un autre poème composé dans la même phase d’intense burnout que ceux que je vous partageais ici. J’ai dû l’écrire en buvant un café au bar, mais j’en ai absolument aucun souvenir.
Le voici donc :
Armagnons les califlots !
Brustons pistre et marlinots !
À la merlude !
À la merlude !
Tombre-toi vaquin roleau,
Sur la hune erne l’aulneau
Ô Parmelune,
À la merlude !
Si l’ardrache ert l’anguenot,
Arpons fec et brans drelot !
Les zels se munent,
À la merlude !
Je sais pas vous, mais moi ça me donne envie de devenir marin.
Et voilà pour les fonds de tiroir.